trouver la lumière dans un monde déboussolé

Il suffit d’ouvrir les yeux pour voir que notre monde semble parfois marcher sur la tête. Crises, conflits, injustices, solitude grandissante… Tout semble aller trop vite, trop fort, et souvent dans la mauvaise direction. On pourrait se laisser envahir par le découragement, baisser les bras en se disant que tout est fichu. Mais à quoi bon ? Vivre dans la peur ou la résignation ne changera rien, sinon nous priver du peu de beauté qu’il reste.

Alors oui, le monde est déboussolé. Mais il y a du bon, il y a du beau. Il suffit de savoir où regarder.

Regardons ces petites choses qui continuent d’exister malgré le chaos : un enfant qui rit aux éclats, un inconnu qui tend la main à quelqu’un qui tombe, un rayon de soleil après des jours de pluie, un ami qui nous écoute sans rien attendre en retour. Ce ne sont peut-être pas des grandes révolutions, mais ce sont elles qui maintiennent l’équilibre du monde, ces fragments de lumière que l’on oublie parfois d’apprécier.

Le positif ne crie pas, il ne fait pas la une des journaux, il se cache dans les détails du quotidien. Et pourtant, il est essentiel. Il nous rappelle pourquoi nous continuons d’avancer, pourquoi l’espoir ne doit jamais mourir.

Choisir de voir le bon, ce n’est pas être naïf. Ce n’est pas fermer les yeux sur les souffrances, ni ignorer les problèmes. C’est décider, malgré tout, de ne pas laisser la noirceur prendre toute la place. C’est une forme de résistance, une force intérieure qui nous pousse à continuer d’aimer, de croire, de bâtir.

Alors oui, le monde est souvent perdu, mais il y a encore de la lumière. Il y en a en nous, autour de nous. Et tant qu’il y aura des gens pour la voir, pour l’entretenir, pour la partager, alors tout ne sera pas perdu.